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Tout savoir sur la dauphine voiture : histoire, caractéristiques et conseils d’achat
Renault Dauphine : histoire complète 1956–1967, succès populaire et portée mondiale
Dans l’univers de l’automobile vintage, peu de silhouettes évoquent autant de souvenirs que la Dauphine voiture. Lancée en mars 1956 pour relayer progressivement la 4CV, elle répond au Projet 109 piloté par le bureau d’études Renault. L’idée est simple et visionnaire à la fois : une berline compacte, économique, à moteur arrière, capable de séduire familles et jeunes actifs dans une France qui accélère. Dès 1957, la Dauphine devient la voiture la plus vendue du pays et le restera jusqu’en 1961, dans la foulée d’un boom de la mobilité et d’une production rationalisée à grande échelle.
L’Histoire voiture Dauphine s’écrit à la fois dans les ateliers de Billancourt et dans les rues du monde entier. La carrosserie monocoque aux lignes douces porte la touche du styliste italien Ghia, tandis que l’ingénieur Fernand Picard orchestre une architecture à moteur arrière, avec des entrées d’air latérales caractéristiques. Sur la route, cette disposition crée un comportement spécifique, vive en ville et attachante sur route, au prix d’une vigilance sur la gestion de charge et les vents latéraux.
Son aventure est internationale. La Dauphine est assemblée en Argentine (IKA puis IKA-Renault) entre 1960 et 1970, produite au Brésil par Willys Overland do Brasil (1959–1968), fabriquée sous licence par Alfa Romeo en Italie (près de Milan) et même assemblée en Espagne via FASA. Cette diffusion planétaire explique le volume cumulé de plus de deux millions d’unités et son statut d’icône accessible, au même titre que la Citroën 2 CV, la Volkswagen Coccinelle ou la Fiat 600.
Aux États-Unis, la Dauphine fait une entrée remarquée à la fin des années 1950. Les phares sealed beam de 180 mm, les pare-chocs renforcés et le passage au 12 V tentent d’adapter la petite française à un territoire rude et aux longues distances. Le succès reste bref, faute d’un réseau après-vente dimensionné et d’une adaptation assez rapide aux contraintes climatiques. Pourtant, l’épisode américain nourrit sa légende et laisse, aujourd’hui encore, un intérêt fort pour les versions USA spécifiques.
La Dauphine devient une figure de la culture populaire, à l’écran comme en compétition. On la croise dans des films des années 60 et au départ de rallyes où des préparateurs ingénieux transforment la sage berline en surprenante sprinteuse. Ce mélange de simplicité, d’élégance et de vitalité mécanique explique sa cote d’amour actuelle, visible dans les rassemblements de collectionneurs et les ventes spécialisées.
Repères essentiels de la diffusion mondiale
- 🇫🇷 Succès en France de 1957 à 1961 🏆
- 🇦🇷 Production IKA/IKA-Renault 1960–1970 🔧
- 🇧🇷 Fabrication Willys Overland do Brasil 1959–1968 🌎
- 🇮🇹 Licences Alfa Romeo Dauphine/Ondine (1959–1964) 🇮🇹
- 📚 Panthéon des modèles mythiques Renault 💫
| Pays 🌍 | Période ⏳ | Particularités 🔎 | Impact 🏁 |
|---|---|---|---|
| France | 1956–1967 | Moteur arrière, design Ghia, versions Gordini/Ondine | Meilleure vente 1957–1961 🥇 |
| Argentine | 1960–1970 | Adaptations locales, variantes Gordini | Première production européenne locale ⚙️ |
| Brésil | 1959–1968 | Image populaire, routes difficiles | 74 627 ex. cumulés 📈 |
| Italie (Alfa Romeo) | 1959–1964 | Équipements spécifiques, 12 V, freins évolutifs | Licences haut de gamme 🇮🇹✨ |
Cette trajectoire, faite d’audace et d’industrialisation, installe la Dauphine dans l’imaginaire collectif des passionnés et consolide sa place de référence de l’automobile vintage. La suite tient à sa technique et à son usage au quotidien.

Caractéristiques Dauphine : architecture, design et agrément de conduite
La Caractéristiques Dauphine se résume autour de trois piliers : monocoque, moteur arrière et quatre roues indépendantes. Le moteur Billancourt de 845 cm³, bloc fonte et culasse aluminium, délivre à l’origine autour de 26 ch DIN pour une vitesse annoncée à ~111 km/h et une consommation voisine de 6,5 L/100. L’architecture confère une excellente compacité, une habitabilité juste et un coffre avant complété par l’astucieux logement de la roue de secours sous portillon.
La direction légère et la faible masse rendent la voiture vive en ville. Sur route, l’essieu arrière à moteur en porte-à-faux réclame des pneus en bon état et des amortisseurs sains. Les millésimes améliorent la formule : chauffage Sofica en 1957, suppression de baguettes superflues, suspension Aérostable en 1960, modernisation des feux en 1961. Le millésime 1964 introduit des versions R1094 dites « Export » avec freins à disques aux quatre roues et une boîte 4 mieux synchronisée, qui transfigurent l’endurance au freinage.
Les évolutions d’intérieur ne sont pas anecdotiques : tissus pied-de-poule, planche noire mat, nouveaux volants, cache-radio marqué. Dans une restauration sérieuse, ces détails comptent autant que la tôlerie. Pour l’agrément, des rapports de boîte bien étagés et des pneus de section adaptée (135×380 d’origine, 145×380 sur Gordini) font la différence.
Points forts et vigilances d’usage
- ✅ Maniabilité urbaine, visibilité et rayon de braquage excellents 🚗
- ✅ Mécanique simple et robuste si entretenue régulièrement 🛠️
- ⚠️ Sensibilité du train arrière à la charge et aux pressions pneus 📏
- ⚠️ Corrosion possible aux bas de caisse, passages de roues, longerons 🧲
- ⭐ Versions freinées « 4 disques » (R1094) très recommandables pour rouler en 2025 🛡️
| Élément 🔧 | Spécification d’origine 📋 | Évolution clé ⏩ | Bénéfice 🟢 |
|---|---|---|---|
| Moteur | 845 cm³, ~26 ch DIN | 28 ch DIN (1963) | Relances améliorées 😊 |
| Freinage | Tambours 4 roues | Disques x4 (R1094) | Endurance et sécurité 🔒 |
| Boîte | 3 rapports (2e/3e synchro) | 4 rapports mieux étagés | Souplesse et agrément 🧭 |
| Suspension | Ressorts/roues indépendantes | Aérostable (1960) | Confort et stabilité 🛞 |
Ce cocktail explique la longévité d’usage de la Dauphine, à condition d’appliquer des Conseils entretien Dauphine adaptés. Les versions postérieures à 1963 profitent d’une mise à niveau bienvenue pour rouler souvent et loin.
Versions mythiques : Gordini, Ondine, 1093 et les élégantes Floride/Caravelle
La saga Dauphine se décline en plusieurs personnalités. Dès 1957, Amédée Gordini peaufine une préparation légère et fait naître la Dauphine Gordini (R1091) : culasse retravaillée, conduits agrandis, ressorts de soupapes durcis, carburateur de 32 mm. La puissance grimpe à 33 puis 36 ch DIN, la vitesse de pointe à ~126 km/h, la caisse est légèrement rabaissée, la boîte passe à 4 rapports. Sur route, la Gordini gagne en nerf sans perdre la civilité qui fait le charme du modèle.
En 1960, la ligne s’embourgeoise avec le charme de l’Ondine (1961–1963) : moquette, planche noir mat, dossier inclinable, boîte 4 de série. C’est une manière élégante de vivre l’expérience Dauphine, avec plus de confort sans renier la frugalité. L’Ondine Gordini marie cette présentation flatteuse aux attributs mécaniques de la Gordini, rare combinaison très recherchée aujourd’hui.
La course n’est pas loin : la Dauphine 1093 (R1093), fabriquée entre 1961 et 1963 à environ 2 140 exemplaires, pousse la mécanique à 49 ch DIN grâce à des pistons bombés, un Solex 32 PAIA 3 double corps, un arbre à cames spécifique et une culasse rabotée. Avec des feux avant de 180 mm (type USA), des tambours ventilés et une boîte 4 spécifique, elle atteint environ 140 km/h et s’illustre notamment au Tour de Corse 1962. Un collector absolu.
La famille s’agrandit aussi côté style : la histoire des Floride et Caravelle rappelle que la plateforme Dauphine sert de base à un cabriolet/coupé glamour, terriblement french riviera. Techniquement, on retrouve la veine Gordini avec des moteurs plus vifs, mais l’objet affiche surtout une dimension lifestyle irrésistible qui dynamise l’image internationale de Renault.
Reconnaître chaque version en un clin d’œil
- 🏁 Gordini : monogrammes, pneus 145×380, caisse subtilement rabaissée, boîte 4 ⚙️
- 💼 Ondine : planche noire mat, moquettes, sièges inclinables, cache-radio spécifique 🎛️
- 🔥 1093 : phares 180 mm, bandes bleues, compteur jusqu’à 180 km/h, compte-tours Jaeger 🧭
- 🌞 Floride/Caravelle : lignes basses et fines, esprit cabriolet chic 🕶️
| Version 🚘 | Puissance 💥 | Boîte ⚙️ | Vitesse max 🏎️ | Particularités ⭐ |
|---|---|---|---|---|
| Dauphine (R1090) | ~26–28 ch | 3 rapports (puis 4) | ~111–115 km/h | Simplicité, économie 😊 |
| Gordini (R1091) | 33–36 ch | 4 rapports | ~126 km/h | Culasse retravaillée, pneus 145 🛞 |
| 1093 (R1093) | 49 ch | 4 rapports (3 synchro) | ~140 km/h | Tambours à ailettes, 12 V 🇺🇸 |
| R1094/1095 | Selon marchés | 4 rapports | — | Freins à disques x4 (R1094) 🛡️ |
Pour faire le tri dans les annonces et mieux « lire » une Dauphine, les détails de carrosserie, de sellerie et d’accastillage sont précieux. Ils permettront de vérifier la cohérence d’une restauration ou l’authenticité d’un millésime convoité.
Les vidéos d’époque et les essais modernes aident à percevoir les différences de tonalité entre chaque variante et préparent efficacement un futur essai sur route.

Conseils d’achat voiture ancienne : fiabilité, estimation et pièges à éviter en 2025
Avant d’acheter, la prudence s’impose pour évaluer la Fiabilité Dauphine et la Valeur voiture ancienne. Une caisse saine prévaut sur tout. Inspecter les planchers, bas de caisse, pieds de portes, intérieurs d’ailes arrière, points d’ancrage de suspension et longerons. La Dauphine tolère mal l’humidité chronique : une belle peinture peut masquer des reprises médiocres, d’où l’intérêt d’un passage sur pont et d’un aimant pour traquer le mastic.
Côté mécanique, le moteur Billancourt encaisse bien si vidanges et calages sont respectés. Surveiller la carburation, la pompe à eau et les fuites périphériques. Les boîtes 3/4 peuvent se révéler bruyantes si les roulements fatiguent. Les systèmes Ferlec ou Jaeger semi/automatiques existent : charmants mais à considérer pour un usage tranquille, après essai approfondi.
Freinage et trains roulants sont primordiaux. Les versions R1094 à 4 disques constituent un atout maître pour rouler souvent. À défaut, un système tambours en parfait état, avec garnitures et cylindres neufs, reste efficace dans l’esprit d’époque. Les pneumatiques doivent être de qualité, à la bonne dimension, avec pressions ajustées.
Checklist d’achat pratique
- 🔎 Carrosserie : alignements, corrosion structurelle, longerons, planchers 🧲
- 🛠️ Mécanique : compressions homogènes, refroidissement stable, carburation saine 🌡️
- 🛞 Châssis : jeux de direction, amortisseurs, silentblocs, géométrie 📐
- 🧾 Dossier : numéros concordants, historique, factures de Rénovation Dauphine 📂
- 🧪 Essai : tenue de cap, freinage droit, température et relances en côte 🚦
| État/Version 💼 | Dauphine | Ondine | Gordini | 1093 |
|---|---|---|---|---|
| À reprendre 🔧 | €3 500–6 000 | €5 000–8 000 | €8 000–12 000 | — 😬 |
| Bel état 🎨 | €7 500–12 000 | €10 000–16 000 | €15 000–30 000 | €70 000+ ⭐ |
| Excellence 🏆 | €15 000–20 000 | €18 000–25 000 | €35 000–60 000 | Collection exceptionnelle 🥇 |
Les valeurs dépendent de l’authenticité, du respect des spécificités de millésime et de la qualité de restauration. Pour prendre la mesure du marché, les rassemblements sont idéaux : la exposition de voitures de collection 2025 permet d’observer des autos très diverses, tandis que le marché mensuel de Fos-sur-Mer offre un regard réaliste sur l’offre régionale et les échanges de Pièces détachées Dauphine.
Visionner quelques guides vidéo aide à structurer l’inspection, mais rien ne remplace un essai complet et le regard d’un spécialiste des youngtimers.
Rénovation Dauphine et conseils d’entretien : préserver l’âme, fiabiliser pour rouler
Une Rénovation Dauphine réussie allie respect de l’origine et fiabilisation raisonnée. La carrosserie monocoque impose une méthodologie stricte : diagnostiquer avant de démonter, caler la caisse, traiter la corrosion à cœur, puis protéger durablement. La disponibilité des Pièces détachées Dauphine est aujourd’hui correcte via clubs, refabrications et bourses, avec des éléments structurels, trains, joints et garnitures accessibles. Le plus délicat demeure les ajustements de finition et certaines pièces spécifiques de versions (compteurs, monogrammes, caches, sellerie).
Côté moteur, le Billancourt se refait sans drame si l’usinage est confié à un atelier habitué aux anciennes. Contrôler vilebrequin, coussinets, guides et sièges, pompe à eau, radiateur. Un carburateur propre et correctement giclé redonne l’onctuosité d’origine. Les échappements d’époque ou des lignes accordées (par exemple Autobleu) existent en refabrication, avec un gain de souffle discret et period correct.
Freinage et électricité méritent une attention particulière. Une réfection complète des tambours (ou un passage à des disques si l’auto est une R1094) change la vie. Pour l’électrique, conserver le 6 V demande des câbles impeccables et des masses parfaites. Le 12 V est pertinent sur une auto roulant souvent, sans trahir l’esprit si la conversion est réversible et documentée. Les systèmes semi/automatiques (Ferlec, Jaeger) exigent un réglage pointu ; sur un usage régulier, une boîte mécanique bien révisée reste la solution pragmatique.
Upgrades discrets et entretien récurrent
- 🧯 Durites et flexibles renforcés, liquide de frein DOT adapté 🛡️
- 🛞 Amortisseurs de qualité, pneus contemporains au bon indice de charge 📈
- 🔌 Conversion 12 V réversible (si usage fréquent de nuit/autoroute) 💡
- 🌡️ Radiateur refait, calorstat fiable, shrouds d’air propres pour le moteur arrière ❄️
- 🧽 Vidanges régulières (moteur/boîte), allumage réglé au poil, soupapes au jeu 💬
| Opération 🔧 | Périodicité ⏱️ | Astuce pro 💡 | Bénéfice ✅ |
|---|---|---|---|
| Vidange moteur | 5 000–7 500 km | Huile minérale de qualité, filtre propre | Longévité, douceur 🫶 |
| Réglage allumage | Annuel | Contrôler avance, rupteurs, bougies | Démarrage net ⚡ |
| Freinage | 2 ans (liquide) | Flexibles neufs, cylindres étanches | Pédale stable 🦶 |
| Refroidissement | À chaque saison | Nettoyer faisceau, vérifier pompe | Températures stables 🌡️ |
Un clin d’œil historique rappelle la plasticité du modèle : base de la tentative électrique Henney Kilowatt aux États-Unis, moteur poussé par des préparateurs comme Pierre Ferry, et victoire au Tour de Corse. Cette capacité à tout faire explique l’attachement durable autour du modèle et renforce l’envie d’un entretien méticuleux et d’améliorations respectueuses.
Passer du rêve à la route est d’autant plus gratifiant quand l’auto chante juste et freine droit ; la Dauphine récompense les soins apportés par un caractère authentique et une présence pleine de grâce.
Repères culturels et communautés à suivre
Que ce soit dans les films 60’s, dans les pages de la BD ou sur les routes de rallye historique, la Dauphine reste une madeleine mécanique. Les clubs, forums et rassemblements tissent un réseau d’entraide : pièces rares, conseils d’atelier, bonnes adresses. Les expositions et marchés spécialisés sont d’excellents observatoires pour qui prépare un achat ou une restauration soignée, utiles pour croiser les informations, comparer les finitions et rencontrer des anciens de la filière.
- 🎪 Voir et comparer des autos : exposition de voitures de collection 2025 📸
- 🧩 Chiner des pièces et documents : marché mensuel de Fos-sur-Mer 🧺
- 📖 Approfondir les variantes : modèles mythiques Renault 🧠
Au final, la Dauphine incarne une façon d’être à l’ancienne : simple, fiable si entretenue, élégante sans frime. Une compagne idéale pour rouler différemment, longtemps.
Quelle version de la Dauphine est la plus adaptée pour rouler régulièrement ?
Une R1094 (freins à disques aux quatre roues) ou une Dauphine bien restaurée avec une boîte 4 et un système de refroidissement refait. Ces versions offrent un compromis idéal entre authenticité et sécurité d’usage.
La fiabilité de la Dauphine est-elle bonne pour un usage week-end ?
Oui, si l’entretien est rigoureux : vidanges régulières, allumage réglé, freins et refroidissement au carré. Le moteur Billancourt est simple et endurant. Des pressions pneus correctes et des amortisseurs sains garantissent un comportement sain.
Où trouver des pièces détachées pour une restauration ?
Clubs et bourses d’échange, refabrications spécialisées et petites annonces. Les rassemblements comme le marché mensuel de Fos-sur-Mer sont précieux pour les pièces et conseils pratiques.
Combien vaut une Dauphine en 2025 ?
Une Dauphine en bel état se situe souvent entre 7 500 et 12 000 €, une Ondine entre 10 000 et 16 000 €, une Gordini de 15 000 à 60 000 €, et une 1093 atteint des montants bien supérieurs selon authenticité et historique.
Quels sont les conseils d’entretien prioritaires ?
Vérifier la corrosion, faire des vidanges régulières, maintenir le circuit de freinage irréprochable, régler l’allumage, soigner le refroidissement et rouler fréquemment pour éviter l’hibernation mécanique.
Théo adore expliquer simplement des choses compliquées. Quand il ne retape pas une Golf GTI, il écrit pour transmettre ses astuces avec clarté. Il aime faire comprendre le « pourquoi du comment », sans jargon, avec passion et précision.
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Jean Paul
2 décembre 2025 at 16h52
La Dauphine, ça rappelle des souvenirs d’enfance. Quelle belle voiture !
Sébastien Falro
2 décembre 2025 at 16h52
La Renault Dauphine reste un bijou de simplicité et de charme vintage.
Paul Mathieu
2 décembre 2025 at 16h52
Superbe rétrospective sur la Dauphine, nostalgie assurée !
Richard Vincent
2 décembre 2025 at 20h03
Theo, article fascinant sur la Dauphine, merci pour les détails historiques !
Thierry Marc
2 décembre 2025 at 20h03
Theo, superbe rétrospective de la Dauphine, c’est passionnant !
Bernard Maglo
2 décembre 2025 at 23h23
La Dauphine, c’est un charme intemporel et pleine de souvenirs agréables. Un vrai bijou !
Pierre Jacque
3 décembre 2025 at 9h24
La Dauphine est une icône vintage, pleine de charme!
Eric Dupuis
3 décembre 2025 at 9h24
La Dauphine, un vrai bijou de nostalgie et d’élégance mécanique !