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bmw z1 : histoire, caractéristiques et conseils pour les passionnés de voitures vintage
BMW Z1 : histoire et genèse, du laboratoire BMW Technik à la route (1985-1991)
Conçue à partir de 1985 au sein de BMW Technik GmbH, cellule d’innovation affranchie des impératifs de série, la BMW Z1 a été pensée comme un manifeste roulant. Le prototype dévoilé au Salon de Francfort 1987 matérialise l’audace d’une marque qui ose des solutions inédites pour un roadster appelé « Z » comme Zukunft (futur). Ce choc esthétique et technique ouvre la voie à une dynastie dont les héritiers s’appelleront plus tard Z3, Z4 et Z8, mais dont l’étincelle créatrice reste unique.
La mise en production s’étend de juillet 1988 à juin 1991, avec une coque en acier galvanisé produite par Baur et des panneaux de carrosserie en matériaux thermoplastiques interchangeables. Le lancement commercial intervient en 1989, après un accueil enthousiaste du public et de la presse. Le positionnement est exclusif avec un prix d’époque proche de 366 700 francs, réservé à ceux qui recherchent l’innovation plus que le simple statut.
Derrière l’icône, les chiffres. La Z1 cumule environ 8 000 exemplaires de série, auxquels s’ajoutent 12 prototypes, soit 8 012 unités produites. Cette rareté nourrira son statut de pièce de collection, amplifiée par la naissance de clubs dédiés en Allemagne, puis aux Pays-Bas, en France, en Italie et au Japon. En 2012, Munich a accueilli les passionnés pour célébrer les 25 ans du modèle, preuve d’une aura intacte.
Le fil conducteur d’une histoire ne s’écrit pas seulement avec des chiffres. Dans plusieurs garages européens, des passionnés comme « Hugo », ingénieur lyonnais, ont vu dans la Z1 un pont entre rêve et réalisme. Ses portes escamotables l’avaient séduit, mais c’est l’assemblage rigoureux et la tenue de route moderne qui l’ont convaincu de rouler régulièrement. Ce récit, partagé lors d’événements tels que le salon Epoqu’Auto à Lyon, illustre à quel point ce roadster est resté vivant.
Pour approfondir la lignée et comprendre la logique industrielle qui a mené de la Z1 à la Z3 puis à la Z4, un détour par l’héritage des roadsters Z1 et Z2 aide à situer cette pionnière dans le récit global de la marque. En parallèle, l’histoire de la BMW 320/6 rappelle la maîtrise de BMW sur le six-cylindres en ligne, cœur mécanique et émotionnel de la Z1.
Repères chronologiques et faits marquants
- 📅 1985 : création de BMW Technik GmbH, laboratoire d’idées 🧪
- 📅 1987 : présentation au salon de Francfort, surprise générale ✨
- 📅 1988-1991 : production limitée, image de vitrine technologique 🏁
- 📅 2012 : 25 ans fêtés à Munich, reconnaissance internationale 🎉
- 📅 2025 : cote élevée, clubs actifs et pièces encore disponibles 🔧
| Année 📆 | Volume 🚗 | Événement clé ⭐ |
|---|---|---|
| 1986-1987 | 12 (protos) | Validation technique, portes escamotables 🪄 |
| 1988 | 58 | Montée en cadence chez Baur 🏭 |
| 1989 | 2 400 | Commercialisation et premières livraisons 🎁 |
| 1990 | 4 091 | Pic de production, échos médiatiques 📣 |
| 1991 | 1 451 | Fin de série, aura de collector 👑 |
Cette trajectoire courte mais intense a laissé une empreinte durable, à tel point que des émissions comme Wheeler Dealer France évoquent fréquemment la Z1 comme une référence de l’audace automobile européenne. La section suivante plonge dans les détails techniques qui ont fait de cette auto un laboratoire roulant éblouissant.

Caractéristiques techniques et innovations : portes escamotables, matériaux et châssis galvanisé
Si la Z1 fascine, c’est d’abord pour ses portes coulissantes verticalement qui s’escamotent dans les flancs. Ce dispositif, motorisé, libère l’accès sans débattement extérieur, comme un tour de magie d’ingénieur. L’effet scénique ne doit pas faire oublier la logique fonctionnelle : empreinte réduite en stationnement, rigidité latérale préservée, et sensation unique de « cockpit » à mi-chemin entre moto et voiture lorsque les portes restent ouvertes à faible allure sur terrain privé.
Autre révolution, la carrosserie en thermoplastique démontable panneau par panneau. Ailes, boucliers, portes et bas de caisse se déposent, autorisant à l’époque de véritables « re-liveries » à domicile. Le tout repose sur une structure monocoque en acier galvanisé à haute résistance, limitant la corrosion et garantissant une base durable. Le fond caréné et les dessous lisses montrent une attention rare à l’aérodynamique pour un cabriolet de cette époque.
Côté cinématique, la suspension arrière Z-Axle optimise la géométrie en virage et stabilise la caisse sous charge. Le moteur M20B25 issu de la BMW 325i E30 délivre 170 ch pour environ 1 250 kg. Les chiffres de l’époque annoncent un 0-100 km/h en 7,9 s et une vitesse de pointe de 225 km/h, des valeurs cohérentes avec un roadster conçu pour l’équilibre plus que la surenchère.
Pour se forger un regard comparatif, l’alignement avec des contemporaines haut de gamme éclaire l’ADN de la Z1. Face à Porsche (ex. 944 S2 cabriolet), Mercedes-Benz (SL R129), ou encore Alfa Romeo (Spider 2.0), la Z1 mise sur la singularité technique plutôt que la puissance pure, avec une précision de direction et une compacité qui tranchent avec les GT plus lourdes.
Zoom sur trois innovations majeures
- 🔧 Portes escamotables : signature visuelle, accès en milieu exigu, fiabilité correcte si entretenue ✅
- 🧩 Carrosserie démontable : panels thermoplastiques interchangeables, entretien facilitateur, personnalisation 🎨
- 🛞 Z-Axle : stabilité accrue en appui, ressenti « moderne », efficacité sur routes sinueuses 🏔️
| Modèle 🔎 | Puissance 💥 | 0-100 km/h ⏱️ | Portes 🚪 | Masse ⚖️ | Technologie notable 🧠 |
|---|---|---|---|---|---|
| BMW Z1 | 170 ch | 7,9 s | Escamotables ⬇️ | ≈ 1 250 kg | Carrosserie thermoplastique, Z-Axle 🧩 |
| Mercedes-Benz SL (R129 300SL-24) | 231 ch | 8,4 s | Classiques 🚪 | ≈ 1 700 kg | Arche anti-retournement, confort GT 🛋️ |
| Porsche 944 S2 Cabriolet | 211 ch | 7,8 s | Classiques 🚪 | ≈ 1 420 kg | Répartition 50/50, transaxle ⚙️ |
| Alfa Romeo Spider 2.0 | 120-128 ch | 10-11 s | Classiques 🚪 | ≈ 1 100 kg | Charme « Duetto », légèreté italienne 🍝 |
Ce panorama montre la singularité de la Z1 : moins puissante que certaines rivales, mais plus expérimentale, elle livre une expérience sensori-mécanique incomparable. Les héritiers plus accessibles comme la BMW Z3 M Roadster ou le Z3 Coupé 3.0i prolongeront l’attrait du six-cylindres BMW auprès d’un public élargi.
Un dernier clin d’œil aux versions rares : l’Alpina RLE, 66 exemplaires et 200 ch, culmine aujourd’hui au firmament des Z1. Une élite qui rappelle combien les années 80/90 ont su marier créativité et exigence d’ingénierie.
Design, culture et aura d’icône : la Z1 comme objet de style et de communauté
Avec ses flancs épais, son nez acéré et sa poupe ramassée, la Z1 ne ressemble à rien d’autre. Son design s’est affranchi des modes pour bâtir une identité presque conceptuelle, faite de volumes clairs et de proportions lisibles. Les couleurs d’origine – d’abord quatre puis six en fin de carrière – ont contribué à sa singularité, d’autant que la carrosserie en panneaux permettait des changements d’humeur chromatique au fil des années.
Au-delà des lignes, l’habitacle minimaliste propose une position de conduite basse, un pare-brise court et une vigilance assumée aux bruits mécaniques. C’est une machine à sensations, plus proche de l’artisanat sophistiqué que de la grande série. Sur le plan culturel, la Z1 a peuplé les pages de magazines, s’est invitée dans les rassemblements européens et a fédéré une communauté où se mêlent ingénieurs, designers et collectionneurs, de Paris à Milan, de Munich à Tokyo.
Les comparaisons abondent : certains y voient l’anti-conformisme d’une Porsche rare, d’autres une alternative plus radicale à une Mercedes-Benz SL cossue. Les amateurs d’italiennes y reconnaissent l’audace d’une Alfa Romeo de belle époque, tandis que les britanniques rapprochent son charisme de modèles Jaguar iconiques. Même des références populaires comme Peugeot, Citroën, Renault, Volkswagen ou Fiat éclairent l’époque : la fin des années 80 mêlait ainsi GT de rêve et citadines futées, chacune contribuant à l’écosystème culturel.
Vie de clubs, événements et pop culture
- 🎪 Rassemblements : clubs dédiés actifs en Europe et au Japon, sorties thématiques et road-trips 🌍
- 📰 Médias : essais iconiques, séances photos, émissions spécialisées qui perpétuent la légende 📸
- 🏛️ Patrimoine : la Z1 exposée aux côtés de GT allemandes et italiennes lors de salons majeurs 🏆
- 🤝 Réseaux : rencontres via Lutetia Classic Car Club ou VCCOA pour créer du lien entre passionnés 💬
- 🔎 Culture : parallèles avec des icônes comme la Porsche 911 Targa 1976 et la Jaguar XJR pour contextualiser l’audace 🐆
| Élément de design 🎨 | Fonction 🧩 | Émotion ressentie 💓 |
|---|---|---|
| Portes escamotables | Accès sans débattement, signature visuelle 🚪 | Effet « showtime », sensation de liberté 🕶️ |
| Carrosserie modulaire | Panels interchangeables, entretien facilité 🔧 | Jeu identitaire, personnalisation 🎭 |
| Fond plat caréné | Aérodynamique peaufinée, stabilité 🛡️ | Confiance, impression de modernité ✨ |
| Poste bas et pare-brise court | Immersion, ressenti d’un cockpit ouvert 🧭 | Engagement, proximité avec la route 🛣️ |
Cette aura s’épanouit sur les marchés classiques, où l’on consulte les offres de voitures classiques et où l’on suit de près les enchères de trésors de grange. La Z1 y apparaît comme une exception allemande, aussi désirable que singulière. Prouver qu’un roadster peut être à la fois manifeste d’ingénierie et œuvre de style est, au fond, sa plus belle transgression.

Conseils d’achat et d’entretien en 2025 : check-list, budgets et bonnes adresses
Sur le marché actuel, une BMW Z1 bien conservée s’échange souvent entre 70 000 et 100 000 €, avec des sommets au-delà pour des exemplaires d’origine irréprochables. Pour l’acheteur, l’enjeu est de distinguer les autos méticuleusement suivies des modèles « vitrines » restés immobilisés. La Z1 se révèle plus facile à maintenir qu’on ne l’imagine : la base mécanique est partagée avec la 325i E30, et bon nombre de consommables restent disponibles.
Les points sensibles existent. Les panneaux thermoplastiques demandent une main experte en cas de réparation, et leur ajustement doit être contrôlé (jeux, alignements). Les mécanismes de portes escamotables supportent bien le temps si graissés et réglés régulièrement, mais la présence d’humidité ou de grincements nécessite une révision. Le M20 est robuste à condition de respecter les échéances de courroie de distribution et de surveiller le refroidissement (radiateur, pompe à eau, durites).
Le châssis galvanisé résiste remarquablement à la corrosion ; on inspectera tout de même les points d’ancrage de suspension et le dessous du plancher. Les trains roulants gagnent à recevoir des silentblocs et amortisseurs en bel état, la Z-Axle exigeant des tolérances précises pour conserver son équilibre. La capote et ses joints doivent assurer l’étanchéité ; toute odeur d’humidité ou moquette détrempée est un signal à investiguer.
Check-list pratique avant achat
- 🧰 Portes : montée/descente fluide, alignement, absence de bruits anormaux 👂
- ⛓️ Distribution : historique clair, kilométrage certifié, périphériques récents 📒
- 🛞 Trains : jeu aux rotules, géométrie, état des pneus (âge, craquelures) 🧪
- 💧 Étanchéité : joints de capote, infiltrations, ventilation et climatisation 💨
- 🧽 Carrosserie : ajustements, fixations de panneaux, teintes homogènes 🎨
| Élément 🧩 | Risque ⚠️ | Budget estimatif 💶 | Astuce 👍 |
|---|---|---|---|
| Courroie + pompe à eau | Casse moteur si oubli ⛔ | 700–1 200 € | Changer par prévention tous 5-6 ans ⏳ |
| Méca. de portes | Grippage, faux contact ⚡ | 300–800 € | Graissage, contrôle faisceau, étanchéité 🔍 |
| Silentblocs/Z-Axle | Flou directionnel 🌀 | 400–1 000 € | Kit complet + géométrie fine 🎯 |
| Capote/joints | Infiltrations 💧 | 500–1 500 € | Stockage au sec, talc joints, housse 🧴 |
| Refroidissement | Surchauffe 🌡️ | 300–900 € | Radiateur et thermostat récents ✅ |
Pour repérer une bonne auto, il est judicieux de consulter des sélections comme les offres de voitures classiques ou de guetter les catalogues d’événements d’envergure. Certaines Z1 apparaissent aussi dans les listings des maisons d’enchères spécialisées, où l’on suit la tendance via les enchères de trésors de grange. Quant aux passionnés qui souhaitent élargir leur horizon dans l’univers des cabriolets, une veille éditoriale telle que les modèles cabriolets incontournables offre des points de comparaison utiles.
Enfin, participer à des rendez-vous reconnus et fréquentés par des Z1 – comme Epoqu’Auto, déjà cité – accélère l’apprentissage. On y croise des propriétaires pédagogues, capables de partager des carnets d’entretien exemplaires et des astuces de conservation au long cours.
Expériences de conduite, comparaisons et héritage : l’électrochoc du roadster « Z »
Au volant, la BMW Z1 offre une partition singulière. Le six-en-ligne est souple et mélodieux, l’embrayage ferme mais précis, la direction vivante sans être nerveuse. La compacité et le fond plat caréné contribuent à une stabilité étonnante à vitesse soutenue, tandis que le Z-Axle maintient une motricité saine en sortie de virage. La Z1 s’apprécie sur départementales vallonnées, là où sa légèreté ressentie et son châssis communicatif transforment chaque enchaînement en conversation.
Comparée à une Mercedes-Benz SL R129, la Z1 apparaît plus franche et dénudée ; face à une Porsche 944/968 cabriolet, elle concède de la puissance mais gagne en sensations « roadster pur ». Confrontée à une Alfa Romeo Spider, elle troque le romantisme transalpin contre une rigueur allemande assumée. Les héritiers BMW, tels que la BMW Z3 M Roadster, remettent la gomme en performances, mais ne reproduisent pas l’expérimentation de portes ni la carrosserie modulaire.
Pour contextualiser la passion, il est instructif de comparer avec d’autres coches marquantes de l’ère : côté français, l’énergie d’une Peugeot 205 GTI, le sens du grip d’une Renault Clio Williams et la suspension « tapis volant » d’une Citroën CX illustrent un paysage varié. Chez les généralistes, une Volkswagen Golf GTI ou une Fiat Barchetta offrent d’autres visions du plaisir analogique. Toutes, à leur manière, racontent l’époque où la mécanique s’exprimait sans filtre numérique.
Sur route, sur piste, en collection
- 🛣️ Route : direction précise, roulis maîtrisé, freinage rassurant 🧷
- 🏁 Piste loisir : châssis sain, pneus route performants, sessions brèves conseillées ⏳
- 🧳 Collection : fiabilité d’usage, valeur stable voire croissante, entretien documenté essentiel 📚
- 🧭 Héritage : voir aussi les roadsters de la lignée via l’héritage Z1/Z2 pour mesurer la filiation 🔗
- 🧡 Culture : présence dans les clubs, récits partagés, transmission intergénérationnelle 👨👩👧👦
| Modèle 🏷️ | Caractère de conduite 🏎️ | Atout majeur 🌟 | Compromis à accepter ⚖️ |
|---|---|---|---|
| BMW Z1 | Précise, immersive, innovante 🎯 | Portes, châssis, sensation unique ✨ | Prix, disponibilité panels, rareté pièces spécifiques 📦 |
| Mercedes-Benz SL R129 | GT confortable, protectrice 🛡️ | Qualité perçue, polyvalence 🧰 | Poids, coût d’entretien premium 💸 |
| Porsche 944/968 Cabriolet | Équilibre transaxle, tenue d’ensemble ⚖️ | Efficacité, image sportive 🏁 | Budget, recherche d’historiques fiables 📑 |
| Alfa Romeo Spider | Romantique, légère, expressive 💃 | Style, moteur caractériel 🎶 | Protection, rigueur de châssis inférieure 🧪 |
Ce tableau souligne la place de la Z1 : moins « GT » que certaines rivales, mais plus sensorielle et inventive. Elle ne gagne pas à la puissance, elle conquiert à l’émotion. Pour s’immerger davantage dans l’univers BMW et les modèles connexes, des supports éditoriaux variés existent, y compris les dossiers spéciaux et les chroniques de clubs, sans oublier les reportages lors d’événements où elle côtoie des Porsche 911, Mercedes SL, Jaguar XK ou Alfa Romeo Spider sous les spots.
Valeur, marché et réseaux de passionnés : où et comment vivre l’aventure Z1
Le marché 2025 est clair : la BMW Z1 n’est plus une curiosité, c’est un collector établi. La cote s’est tendue à partir du milieu des années 2010 et s’est stabilisée haut. Les exemplaires à faible kilométrage, avec première peinture, historique limpide et carnets BMW, se vendent vite. La rare Alpina RLE culmine, tandis que les Z1 plus kilométrées mais bien suivies représentent des opportunités de rouler sans crispation à la valeur.
La vie de passionné se nourrit d’événements et de réseaux. Entre salons, rallyes, clubs et médias, la Z1 se découvre et se transmet. Des rendez-vous comme le salon Epoqu’Auto ou des clubs généralistes (par exemple Lutetia Classic Car Club et VCCOA) connectent les propriétaires et orientent vers les bons spécialistes. Les passionnés de sportives transversales apprécieront aussi de contextualiser la Z1 face à des mythes comme la Porsche 911 Targa 1976.
Quant aux médias et contenus, les reportages spécialisés, les comparatifs et les études de cas nourrissent des critères de choix concrets : état structurel, authenticité des panneaux, qualité d’assemblage, fraîcheur des éléments de train roulant. Le visionnage d’essais en vidéo et la consultation de petites annonces sérieuses aident à affiner ses attentes et son budget.
Réseaux, contenus et opportunités
- 🧭 Clubs : entraide, pièces, documentation, sorties conviviales 🤝
- 📰 Médias : essais, archives techniques, conseils marché, formats vidéo 🎬
- 🛒 Annonces : privilégier vendeurs documentés, expertises indépendantes 🔍
- 💼 Enchères : comprendre les frais, la provenance, la transparence des lots 🧾
- 🧠 Culture : élargir la vision en explorant d’autres icônes, de Jaguar à Porsche 🐆
| Ressource 🔗 | Utilité 📚 | Pourquoi c’est utile 💡 |
|---|---|---|
| Sélections d’annonces | Repérage des bonnes autos 🧭 | Filtrage qualitatif, références marché 🧮 |
| Ventes & trésors de grange | Découverte de perles rares 💎 | Transparence des résultats, tendances 📈 |
| Clubs historiques | Réseau, expertise, sorties 🤝 | Partage d’expériences, entraide 👨🔧 |
| Grand salon | Rencontres, pièces, spécialistes 🧰 | Concentration d’acteurs, gain de temps ⏱️ |
| Émissions dédiées | Cas pratiques, budgets, astuces 💬 | Apprentissages concrets, comparatifs 🎛️ |
Ce maillage — annonces, enchères, clubs, salons — garantit une expérience pleine et collective. La Z1 n’est pas un caprice, c’est une aventure technique et humaine qui réunit esprit d’ingénieur et célébration du beau mouvement.
Quel est le point technique le plus singulier de la BMW Z1 ?
Ses portes escamotables verticalement, intégrées dans les bas de caisse, restent sa signature absolue. Elles combinent spectacle, compacité en stationnement et sensation d’ouverture inédite, surtout avec la capote repliée.
La Z1 est-elle difficile à entretenir au quotidien ?
Non, la base mécanique M20B25 partagée avec la 325i E30 facilite largement l’entretien. L’attention principale se porte sur la courroie de distribution, le refroidissement, les mécanismes de portes et l’ajustement des panneaux thermoplastiques.
Quelle est la cote d’une Z1 en bel état en 2025 ?
La plupart des exemplaires s’échangent entre 70 000 et 100 000 €, avec des pointes supérieures pour des autos d’origine, peu kilométrées ou en teintes recherchées. Les Alpina RLE constituent une exception encore plus cotée.
Peut-on rouler régulièrement avec une Z1 ?
Oui, à condition d’un entretien rigoureux et de roulages réguliers. Le châssis galvanisé, la mécanique BMW éprouvée et la bonne disponibilité des consommables en font une voiture classique qui se vit, pas seulement qui s’expose.
Quelles alternatives pour ressentir un esprit proche ?
Pour un esprit roadster BMW plus accessible, explorez les Z3, notamment les versions M et 3.0i. Côté culture, des modèles comme la Porsche 944/968 cabriolet, l’Alfa Romeo Spider ou des GT comme la Mercedes-Benz SL R129 livrent d’autres voix du plaisir analogique.
Journaliste automobile depuis 20 ans, ancien chroniqueur pour Auto-Rétro, passionné de mécanique et de storytelling.
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