Le Mandarin Lutetia inaugure le Lutetia Classic Car Club : une nouvelle aventure pour les passionnés d’automobiles classiques

Le Mandarin Lutetia présente le Lutetia Classic Car Club: élégance, patrimoine et moteurs sur la Rive Gauche

Dans les salons feutrés du Mandarin Lutetia, l’inauguration du Lutetia Classic Car Club a marqué une rencontre rare entre patrimoine hôtelier et culture automobile. Le palace de la Rive Gauche, rénové avec soin et réputé pour son style Art déco, a réuni collectionneurs et connaisseurs venus célébrer une vision exigeante de l’automobile classique. L’événement a pris la forme d’un après-midi lumineux où l’étiquette du grand hôtel s’est mariée à l’esprit des circuits et aux récits de routes anciennes.

Le cadre ne doit rien au hasard. Inauguré en 1910, l’établissement incarne une vision de l’hospitalité où chaque détail compte, à l’instar d’une restauration parfaite de carrosserie ou d’un ajustement de culbuteurs au micron près. Cette analogie a guidé la naissance du club: magnifier ce qui fait battre le cœur des amateurs, des chromes patinés aux cuirs qui racontent des histoires, sans oublier l’écoute et la convivialité qui fédèrent les communautés. On y croise des silhouettes familières du monde des voitures de collection, des esthètes épris de lignes aérodynamiques et de boiseries vernies, des curieux aussi, attirés par ce langage universel qu’est la beauté mécanique.

Le club affirme sa singularité: ici, l’automobile s’envisage comme un art de vivre, dans la pure tradition française. Les clins d’œil aux maisons parisiennes sont assumés: une table dressée comme pour un vernissage, des gestes d’attention, un service au cordeau. En filigrane, une idée simple mais puissante: on ne vit pas la voiture ancienne uniquement derrière le volant, on la partage, on la documente, on la transmet. Cette approche rejoint l’essor des rendez-vous spécialisés, des marchés aux pièces aux séries TV dédiées. À ce titre, l’intérêt suscité par Wheeler Dealer France ou par la vitalité des réseaux de clubs témoigne d’une passion élargie.

Un fil narratif s’est imposé lors de cette ouverture: celui de Clara et Hugo, duo complice qui photographie et archive les autos rencontrées en ville. Leur regard capte des détails souvent invisibles au grand public: une trace de martelage d’époque sur une aile, un bouton de démarreur jauni, un carnet d’entretien griffonné par un mécanicien de province. Autant de micro-récits qui nourrissent la promesse du club: faire de Paris une scène vivante où se croisent Peugeot, Citroën, Renault, DS Automobiles, mais aussi Bugatti, Alpine, Facel Vega ou Delage, avec la même bienveillance.

La dynamique parisienne s’inscrit dans un mouvement plus vaste: la redécouverte d’icônes nationales, des DS et Traction aux Alpine A110, et l’intérêt renouvelé pour certains modèles “sleeper” des années 80-90. Pour mesurer cet élan, il suffit d’ouvrir l’œil lors d’un rassemblement dominical, où se mêlent anciennes populaires et GT de légende. Le club s’annonce comme un point de ralliement où ces mondes se parlent, du carnet de cotes aux secrets d’atelier.

• ✨ Esprit: art de vivre, rencontres, transmissions intergénérationnelles.
• 🛠️ Culture: ateliers, visites de lieux confidentiels, immersion technique.
• 🚗 Parc: de la populaire soignée à la GT mythique, éclectisme assumé.
• 📸 Mémoire: documentation photo, récits d’itinéraires, archives partagées.
• 🌿 Style: élégance parisienne, convivialité, service attentionné.

Premier constat clé: le club installe une grammaire de l’élégance appliquée à la route, une esthétique du voyage qui fait école.

Club privé: sélection, cooptation et esprit de communauté au Lutetia Classic Car Club

Le Lutetia Classic Car Club a posé une règle fondatrice: une communauté restreinte, 50 membres seulement, cooptés pour leur sincérité, leur connaissance, et l’état irréprochable de leur automobile. La sélection, orchestrée par Jean-Pierre Trevisan, refuse l’ostentation pour privilégier la cohérence: véhicules majoritairement des années 1950 à 1970, d’origine ou restaurés dans les règles, carnet suivi, respect des spécifications, et un esprit “gentleman driver”. Cette philosophie privilégie la qualité de l’échange et la tenue des événements.

Le club n’entend pas devenir un musée roulant. Il promeut l’usage raisonné des anciennes, avec des itinéraires pensés pour les mécaniques, des pauses techniques et des espaces d’observation photo. On y croise Élise, amatrice de DS Automobiles fascinée par les hydropneumatiques, et Karim, fin connaisseur des boîtes manuelles à longs débattements. Lui roule parfois en 404, elle rêve d’un coupé Facel Vega. Tous deux incarnent cette élégance discrète qui fait la singularité du lieu.

Le calendrier épouse cette vision. Le premier grand rendez-vous mènera la communauté jusqu’à Versailles, avec un équilibre entre plaisir de conduite, patrimoine et gastronomie. Les équipages privilégieront les autos fiables, bien réglées et révisées, rappelant que la meilleure restauration reste celle qui autorise la route. Pour ceux qui souhaitent se perfectionner, le club oriente vers des ressources utiles et inspirantes, comme ce panorama des modèles phares avec conseils pour anciennes Citroën, une synthèse sur les légendes hexagonales via les modèles mythiques Renault, ou encore des perspectives contemporaines avec les nouveautés Peugeot.

La sélection ne s’arrête pas à l’icône glorieuse. Le club assume un œil curatorial qui peut faire dialoguer une DS 21, une Alpine de compétition, une Delage de salon, mais aussi des youngtimers qui montent, à l’image de certaines berlines sportives des années 90. Pour explorer les opportunités, les curieux surveillent des annonces de voitures classiques, n’oubliant pas que chaque achat s’accompagne de documentation et d’expertise.

Sur le terrain, la communauté pratique quelques rites simples: vérifier les niveaux avant départ, rouler au couple, observer les températures d’eau et d’huile, écouter les bruits de transmission. Ce soin évite les réparations lourdes et préserve l’intégrité des pièces d’origine. En parallèle, la culture populaire nourrit l’envie d’apprendre: l’histoire et l’évolution d’une familiale peuvent inspirer, comme le montre ce dossier sur la Renault 18, souvent croisée lors des rassemblements provinciaux.

• 🔑 Accès: cooptation, dossier de véhicule, historique vérifié.
• 🧭 Esprit: respect, modestie mécanique, conduite souple.
• 🎓 Transmission: partages techniques, bibliographie, ateliers.
• 🧰 Préparation: check-up, pressions, électro, périphériques.
• 🍽️ Art de table: piques-niques curatés et haltes gastronomiques.

Deuxième insight: un club restreint et curaté élève le niveau des échanges et nourrit l’exigence, sans perdre la chaleur humaine.

Expériences sur mesure: Charles Pozzi Paris et Steel Motors Home, entre culte Ferrari et restauration d’orfèvre

Le Mandarin Lutetia dévoile une immersion qui marie grand tourisme et coulisses techniques. D’un côté, Charles Pozzi Paris, vaste site dédié aux Ferrari, où un ambassadeur guide les visiteurs entre showroom, ateliers et zones de personnalisation. De l’autre, Steel Motors Home à Bois-Colombes, sanctuaire discret où la restauration respecte les gestuelles d’époque et l’âme des mécaniques. Cette dualité compose un diptyque: la performance italienne contemporaine et la patience artisanale des ateliers.

La visite Pozzi n’est pas un simple parcours: elle fait entrer dans un récit de marque, celui de la précision, des tolérances serrées et de la symphonie des V12. Les espaces sont conçus comme un musée vivant, avec un chef-d’œuvre qui démarre à la pression d’un bouton. Face à cela, l’atelier indépendant ressemble à un monastère d’acier et de toile émeri, où une caisse nue retrouve sa ligne sous la caresse d’un marbre et la lumière d’une rampe. Deux mondes, une même exigence.

Entre ces haltes, un déjeuner ponctue la journée: pique-nique dans un jardin privé ou table gastronomique, selon la saison. Les échanges y portent autant sur l’hydraulique d’une DS que sur l’aérodynamique d’une berlinette Alpine, sur la rareté d’une Delage ou sur l’audace d’une Bugatti d’avant-guerre. Ceux qui souhaitent revisiter la grande tradition hexagonale peuvent se plonger dans ce dossier synthétique sur l’histoire de Citroën et ses modèles. À la marge, la curiosité conduit vers des portraits inattendus, comme la route d’une Jaguar XJR ou l’extérieur-intérieur d’une BMW 320i cabriolet typée balade buissonnière.

Pour les hôtes, cette journée compose un “beau voyage” au sens français: le geste, la matière, la conversation. Chacun repart avec une idée claire de ce qu’implique la restauration fidèle, du prix du temps long, et de la façon d’habiter une auto ancienne avec douceur. Les équipes du palace orchestrent la logistique avec le même soin qu’un maître d’atelier aligne un capot: discrétion, précision, élégance.

• 🏁 Programme type:
  • 🥂 Accueil et toast au champagne chez Pozzi
  • 🔧 Immersion ateliers: mécanique, carrosserie, personnalisation
  • 🍽️ Déjeuner curaté: jardin privé ou table gastronomique
  • 🗝️ Accès à une collection privée et moments de conversation
  • 🧵 Visite de Steel Motors Home: restauration, archives, documentation
  • 🛏️ Nuitée de luxe pour deux avec petit-déjeuner
• 🥂 Accueil et toast au champagne chez Pozzi
• 🔧 Immersion ateliers: mécanique, carrosserie, personnalisation
• 🍽️ Déjeuner curaté: jardin privé ou table gastronomique
• 🗝️ Accès à une collection privée et moments de conversation
• 🧵 Visite de Steel Motors Home: restauration, archives, documentation
• 🛏️ Nuitée de luxe pour deux avec petit-déjeuner
• 🧠 Objectifs: pédagogie, inspiration, transmission.
• 📷 Mémoire: portfolio de la journée, fiches techniques.

Troisième insight: la combinaison “coulisses Ferrari + atelier d’orfèvre” crée une pédagogie sensible et durable, au-delà du simple frisson.

Icônes françaises et GT de caractère: de Citroën et DS à Bugatti, Alpine, Facel Vega et Delage

Le club consacre une large place aux icônes tricolores. Le duo Citroën et DS Automobiles occupe une position à part, grâce à la suspension hydropneumatique, aux intérieurs sculpturaux et à une esthétique devenue intemporelle. Les passionnés qui veulent aller au-delà des clichés s’orientent vers des dossiers précis, comme la DS21M Super 5, ou vers des interprétations plus récentes et étonnamment performantes, telle la Xantia Activa, fascinante par sa tenue de route.

Chez Peugeot, l’héritage des berlines équilibrées et des coupés élégants attire une nouvelle génération qui redécouvre la souplesse de conduite et l’ergonomie d’époque. Renault, quant à elle, brille par sa versatilité: des populaires attachantes aux sportives nerveuses, la marque a inscrit dans le paysage un vocabulaire d’innovations. Les guides recensant les signatures les plus mythiques éclairent les critères à observer: corrosion, faisceaux électriques, disponibilité de pièces. Dans ce panorama, Alpine demeure un mythe de routes sinueuses, quand Bugatti incarne l’art du très haut artisanat, et Facel Vega le glamour d’une carrosserie française à l’âme cosmopolite. Delage, enfin, résume une forme de classicisme: la noblesse d’une ligne qui traverse les décennies.

L’éclectisme du club accepte aussi les dialogues inattendus. Une GT britannique peut s’inviter aux côtés d’une française Grande École, pourvu que l’ensemble reste cohérent. Un détour par des portraits d’anglaises ou allemandes apporte des comparaisons utiles: la Jaguar XJ40 pour sa modernité technologique, ou des cabriolets bien nés comme la 320i E30 qui jongle entre rigueur et plaisir. Également, les japonaises à ingénierie affûtée, telle la Honda Prelude 4WS, séduisent par leur précision et rappellent qu’une belle auto peut aussi être discrète.

Clara et Hugo documentent ces correspondances. Ils cadrent un logo, un décroché d’aile, une couture de siège, créant un pont entre époque et usage. L’archive devient un outil, pas une relique: on y lit la vie d’une auto, les micro-évolutions d’un modèle, une patine qui raconte les routes. L’objectif n’est pas de fétichiser, mais d’expliquer ce qui, dans un dessin ou un choix technique, résiste au temps et continue d’émouvoir aujourd’hui.

• 🇫🇷 Tricolores en lumière: DS, Citroën, Renault, Peugeot, Alpine.
• 🏛️ Grands noms historiques: Bugatti, Delage, Facel Vega.
• 🧪 Techniques marquantes: hydropneumatique, châssis léger, carrosserie artisanale.
• 🧭 Critères d’achat: pièces, corrosion, traçabilité, documentation.
• 📚 Ressources: dossiers spécialisés et retours d’expérience.

Quatrième insight: les icônes dialoguent au présent; l’émotion naît de la cohérence technique et d’une esthétique qui persiste sur la route.

Rallyes, marchés et rencontres: la constellation d’événements qui prolonge l’esprit Lutetia

Le calendrier du club se nourrit d’escapades élégantes mais aussi d’écosystèmes plus modestes, indispensables à la vitalité de la scène. Les marchés mensuels, les rassemblements de village, les rallyes de régularité constituent ce terreau où les autos roulent, se réparent, s’échangent. Le club encourage ses membres à fréquenter ces rendez-vous, y compris ceux situés loin des projecteurs parisiens. Ainsi, un détour par le Sud révèle des haltes attachantes comme le marché de Fos-sur-Mer, où se négocient pièces, documentation et savoir-faire.

Le Grand Est n’est pas en reste, avec des rendez-vous qui valorisent les populaires. La rencontre de Sierentz dédiée à Simca remet en lumière des modèles qui ont transporté la France des années 60. Un focus sur la Simca 1300 éclaire des critères d’examen souvent oubliés: points de corrosion, faisceaux, disponibilité de joints. Cette culture de l’attention est la seule manière de préserver l’usage serein sur route.

Plus au nord de la vallée de la Drôme, l’énergie bénévole fait le reste. Les clôtures d’événements, comme celles de Saillans MT Classic Car, prouvent que la passion se tisse avec des mains locales et des kilomètres partagés. Ces rendez-vous à taille humaine offrent aussi une pédagogie concrète: comment diagnostiquer une fuite au retour de vacances, où refabriquer un faisceau, comment régler une pompe à essence mécanique. Autant d’ateliers vivants que le Lutetia Classic Car Club valorise par ses relais et son éditorialisation.

L’horizon s’élargit avec des portraits thématiques. Citroën, par exemple, occupe une place à part, de la DS à des modèles plus récents qui deviennent collectionnables, comme la Xantia Activa citée plus haut. Un panorama récapitulatif sur les familles de la marque à chevrons, proposé dans ce guide, aide à clarifier les lignées et les points d’attention. En parallèle, l’actualité enrichit la pratique: voir ce que sera le paysage des anciennes dans quelques années, via les tendances repérées dans un dossier prospectif, permet d’anticiper restaurations et budgets.

Le club joue un rôle de boussole. Il indique des ressources, met en relation, et propose un socle d’itinéraires et d’adresses. La méthode reste simple: rouler souvent, rouler bien. Un état mécanique tenu, des pneus adaptés, des matériaux respectés. Clara et Hugo, lors d’une balade dominicale, ont photographié une file de Renault et de Peugeot quittant Paris par les quais, soleil bas et reflets sur capots. Preuve qu’un rallye peut être aussi une chorégraphie urbaine, élégante et populaire à la fois.

• 🗓️ Rendez-vous à suivre:
  • 🏰 Sortie inaugurale vers Versailles en fin d’été
  • 🏁 Rassemblements dominicaux autour de Paris
  • 🧰 Marchés de pièces: Sud et Grand Est
  • 📖 Soirées “archives et photos” au palace
• 🏰 Sortie inaugurale vers Versailles en fin d’été
• 🏁 Rassemblements dominicaux autour de Paris
• 🧰 Marchés de pièces: Sud et Grand Est
• 📖 Soirées “archives et photos” au palace
• 🧭 Bonnes pratiques: planifier, réviser, documenter, partager.
• 💬 Réseau: clubs amis, ateliers, marchands de pièces.

Cinquième insight: pour durer, la passion a besoin d’un écosystème vivant, des salons aux bourses villageoises; le LCCC en est un trait d’union.

Patrimoine roulant et art de vivre à la française: le style Lutetia comme manifeste

L’ambition du Mandarin Lutetia dépasse la simple carte de membre. C’est un manifeste pour une élégance contemporaine reliée au passé, où la mécanique devient langage et l’hôtellerie une scène. Les matériaux nobles s’accordent à la patine des volants bakélite; la discrétion du service répond au silence feutré d’une porte bien réglée. Tout, dans cette orchestration, vise à mettre en valeur ce qui fait la beauté d’une Alpine, la magnanimité d’une Delage ou la théâtralité d’une Facel Vega.

Cette vision n’idéalise pas le passé. Elle le questionne, l’interprète, et lui donne un futur. L’entretien devient un geste culturel; la documentation, un trésor; la route, un atelier à ciel ouvert. Dans cette perspective, le club incite à mieux connaître ses autos, à oser des visites spécialisées, à lire, à comparer. Les séries et dossiers s’avèrent des compagnons de route utiles, de l’exploration des lignées Citroën à la découverte d’événements fédérateurs via un annuaire de clubs.

Par ricochet, la culture pop nourrit la scène. Affiches, photos de famille, films de vacances: autant de matières qui réinscrivent la voiture dans nos vies. Les archives familiales d’Hugo montrent une Renault break sur une nationale bordée de platanes; celles de Clara, une Peugeot lustrée avant un mariage. Le club veut capter ces images, les exposer, les raconter. Le geste photographique devient patrimonial, un hymne à l’objet utile et beau.

En parallèle, la communauté garde un œil ouvert sur le présent. Refaire une sellerie, recalibrer un allumeur, ajuster un parallélisme: ces travaux dialoguent avec les critères contemporains de durabilité. Restaurer, c’est conserver, donc moins produire; entretenir, c’est prolonger, donc transmettre. Cette philosophie s’aligne avec la vision d’un luxe sobre, attentif au temps et aux gestes. Les membres le savent: une auto qui roule souvent roule mieux.

• 🎨 Esthétique: cohérence des lignes, teintes d’époque, matériaux nobles.
• 🔧 Technique: réfections mesurées, documentation, pièces de qualité.
• 👑 Hospitalité: discrétion, service sur mesure, rituels élégants.
• 🧭 Pérennité: usage régulier, révisions planifiées, garages partenaires.
• 📚 Mémoire: expositions photo, récits, archives partagées.

Sixième insight: le style Lutetia propose une voie française du vintage, faite d’exigence, de douceur et d’un sens aigu du détail.

Pour prolonger l’expérience chez soi, quelques ouvrages de référence et guides pratiques permettent d’approfondir l’histoire, l’entretien et l’iconographie des modèles qui font battre les cœurs.

Comment devenir membre du Lutetia Classic Car Club ?

L’accès se fait par cooptation, sur dossier, avec un véhicule en excellent état (principalement des années 1950-1970) et une motivation axée sur la transmission et l’usage raisonné. Le club limite volontairement son effectif pour préserver la qualité des échanges.

Quelles expériences propose le Mandarin Lutetia autour des voitures classiques ?

Le palace organise des immersions sur mesure: visite privée de Charles Pozzi Paris, exploration de Steel Motors Home, déjeuner curaté et nuitée pour deux. L’objectif est d’allier pédagogie technique et art de vivre.

Peut-on venir avec une voiture populaire plutôt qu’une GT de prestige ?

Oui, si l’auto est en excellent état et cohérente avec l’esprit du club. L’éclectisme est assumé: une Renault bien tenue, une Peugeot magnifiquement conservée ou une Citroën documentée ont toute leur place.

Le club participe-t-il à des événements hors de Paris ?

Oui. Rallyes en Île-de-France et sorties plus lointaines figurent au programme. Le club relaie aussi des rendez-vous comme des marchés de pièces ou des rencontres thématiques en région.

Où trouver des ressources pour choisir et entretenir une ancienne ?

Des dossiers thématiques et retours d’expérience sont recommandés, tels que des guides sur les lignées Citroën, des modèles Renault marquants ou des sélections d’annonces de voitures classiques pour orienter les recherches.

Thomas Berger

Pour thomas, chaque véhicule vintage est une œuvre d’art roulante. Il capture l’âme des carrosseries dans ses clichés, et ses textes sont une extension de son objectif : visuels, sensibles, presque poétiques, ils donnent vie aux chromes et aux cuirs patinés.