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porsche 928 gts : héritage et performance d’une icône sportive en 2025
Porsche 928 GTS : héritage, histoire et place d’une icône en 2025
Le chapitre Porsche 928 GTS s’écrit à la manière d’un point d’orgue : une synthèse d’audace, de technologie et de confort, née de l’idée qui devait bouleverser la hiérarchie à Stuttgart. Dès 1978, la Porsche 928 s’impose comme un tournant — un coupé 2+2 à moteur V8 avant refroidi par eau, en rupture avec la 911 et ses traditions. Élu “Voiture européenne de l’année” en 1978, exploit unique pour une sportive, le concept valide une vision : celle d’une GT moderne qui voyagerait vite, longtemps, et dans une sérénité que peu d’autos de l’époque pouvaient offrir.
Arrivée en 1991, la 928 GTS vient clore la lignée (arrêt en 1995) avec une maturité rare. Sa production confidentielle — 2 710 exemplaires — cristallise aujourd’hui son aura. L’aileron fixé sur la bulle arrière, le bandeau lumineux rouge reliant les feux affleurants, les jantes Cup 17”, ou encore la posture trapue rappellent qu’elle n’était pas seulement un manifeste d’ingénierie : c’était une vision esthétique. Pourquoi fascine-t-elle encore en 2025 ? Parce que cette GT a inventé un art de vivre à grande vitesse, pensé pour avaler l’Europe à rythme soutenu, sans renoncer à la précision de conduite ni au raffinement intérieur.
Cette portée culturelle se lit aussi dans le miroir de ses rivales d’époque et d’aujourd’hui. Face aux Ferrari de grand tourisme des années 90, à l’élégance durable d’Aston Martin, au tempérament d’une Jaguar XJS ou à la fougue d’une Chevrolet Corvette, la 928 GTS choisit la voie du grand tourisme rationnel, presque architectural. Elle annonce, par son équilibre et son ergonomie, la grammaire des GT modernes, de la Mercedes-AMG GT aux imposantes BMW M hautes performances. Même l’esprit “légèreté & efficacité” d’Alpine y trouve un contrepoint : la GTS prouve qu’on peut être lourde mais lisible, puissante tout en restant civilisée.
Dans les rassemblements, un visage revient souvent : celui d’une génération pour laquelle la 928 n’a pas remplacé la 911 mais a ouvert un second chemin. Les collectionneurs racontent la rareté des pièces spécifiques, la satisfaction de voitures au long cours qui, bien entretenues, traversent le temps avec une étonnante stabilité. On évoque aussi les controverses de l’époque : certains jugèrent l’intérieur trop “industrialisé”, pointant la fragilité de certains plastiques. Rien qui n’entame aujourd’hui la valeur patrimoniale d’un concept qui aura, contre vents et marées, défini une autre idée de la sportive allemande.
Pour rendre cette histoire tangible, un club européen a reconstitué la trajectoire d’un exemplaire de 1994, resté dans la même famille pendant vingt ans. Entretiens scrupuleux, voyages au long cours, et un carnet qui raconte une Europe des routes secondaires, de la Provence aux Carpates. Une GT n’est pas qu’une fiche technique : c’est une manière d’organiser des souvenirs. Sur ce terrain-là, rares sont les modèles qui conjuguent avec autant d’équilibre performance, habitabilité, endurance. D’où, en 2025, une cote ascendante et une communauté de passionnés plus soudée que jamais.
- 🌟 Jalons majeurs : 1978 (lancement 928), 1991 (naissance GTS), 1995 (fin de production).
- 🚗 ADN : coupé 2+2, V8 avant, GT à l’allemande, tenue de route rigoureuse.
- 🏆 Singularité : Voiture de l’année 1978, fait unique pour une sportive.
- 🧭 Vision : une alternative crédible à la 911, au long cours, polyvalente et performante.
| 🗓️ Période | 📌 Évolution 928 | 🔧 Traits saillants | 🌍 Concurrence perçue |
|---|---|---|---|
| 1978 | 928 (genèse) | V8 avant, GT moderne | Ferrari GT, Jaguar XJ-S, Alpine A310 |
| 1980s | Évolutions S/GT | Puissance +, confort + | Chevrolet Corvette C4, BMW M E24/34 |
| 1991–1995 | 928 GTS | 5.4 L, 350 ch, esthétique épurée | Ferrari 456, Aston Martin V8, premières Mercedes-AMG musclées |
Conclusion provisoire de ce chapitre patrimonial : la 928 GTS n’a pas seulement réussi sa sortie, elle a rendu lisible une voie GT “ingénierie + humanité”, rare et durable.

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Performances et fiche technique Porsche 928 GTS : V8 5.4, tenue de route et endurance
Sur le terrain technique, la Porsche 928 GTS porte la griffe des ingénieurs : un V8 5 397 cm3 en alliage, refroidi par eau, alimenté par une injection évoluée, délivrant jusqu’à 350 ch à 5 700 tr/min. Le couple généreux sert une philosophie : accélérer fort, longtemps, sans brutalité. Deux transmissions se partageaient la clientèle : une boîte manuelle 5 rapports pour les puristes et une automatique 4 rapports pour ceux qui privilégiaient l’élan continu sur autoroute. La disposition transaxle (boîte à l’arrière) équilibre les masses, contribuant à une stabilité qui a fait la réputation du modèle.
La 928 GTS atteint une vitesse maximale de 275 km/h d’après les données d’époque. Pour le 0 à 100 km/h, les sources historiques oscillent entre 5,7 s et 8,0 s selon les mesures, la boîte, l’état des pneus et la méthodologie. Cette fourchette, loin de discréditer le modèle, révèle son double visage : sportive franche dans les bonnes conditions, et GT couchée sur son couple en conduite apaisée. Les quatre freins à disque ventilés avec ABS imposent un standard de sécurité déjà mature, tandis que les suspensions indépendantes, alliées au célèbre effet de rappel du train arrière (héritage Weissach), sécurisent les trajectoires en charge et en appui.
Les propriétaires rapportent une endurance remarquable sur longue distance. Si la masse (environ 1 640 kg) n’est pas anodine, la voiture se pilote serrée, propre, presque clinique, avec un naturel de direction que beaucoup d’athlètes plus légers n’atteignent pas. À haute vitesse, le silence mécanique et l’aérodynamique stable composent une ambiance à part, plus proche de l’aviation d’affaires que de la “muscle car”. La rigueur allemande rend service à l’émotion : c’est une GT qui n’a pas peur du kilomètre.
Un atelier indépendant relate l’exemple d’une GTS ayant couvert plus de 300 000 km avec moteur jamais ouvert, uniquement des périphériques et une suspension refaite aux bons intervalles. L’enseignement est limpide : l’important n’est pas de chercher “l’exemplaire le moins kilométré”, mais le meilleur historique d’entretien. C’est d’autant plus vrai pour une mécanique compacte, qui aime l’huile fraîche, le liquide de refroidissement propre et une électronique sans masses approximatives.
- ⚙️ Points forts mécaniques : couple, équilibre transaxle, freinage endurant.
- 🛣️ Caractère routier : stabilité à vitesse soutenue, grand rayon d’action.
- 🧪 Sensibilité : qualité des pneus, réglage du train arrière, géométrie millimétrée.
- 🔩 Entretien gagnant : fluides réguliers, faisceaux électriques propres, refroidissement surveillé.
| 🏁 Caractéristique | 📏 Donnée clé | 💡 Commentaire |
|---|---|---|
| Moteur | V8 5.4 L (5 397 cm3) | Alliage, refroidi par eau, injection sophistiquée |
| Puissance 🔥 | 350 ch à 5 700 tr/min | Plage d’utilisation large et docile |
| 0–100 km/h | 5,7 s à 8,0 s | Dépend boîte/conditions; GT efficace |
| Vitesse max. 🚀 | 275 km/h | Longue allonge, aéro stable |
| Freins | 4 disques ventilés + ABS | Endurance et constance |
Pour entendre et voir la cohérence de l’ensemble, rien ne vaut quelques images dynamiques tournées par des passionnés.
En synthèse technique, la GTS oppose au temps une résistance sereine : une architecture juste, un moteur plein, et une tenue de route qui raconte le sérieux de la conception.
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Design et ergonomie de la Porsche 928 GTS : lignes fluides, jantes Cup et intérieur GT
La 928 GTS séduit par sa cohérence stylistique. Sa signature la plus visible tient au bandeau lumineux rouge reliant des feux arrière affleurants, posé sous la fameuse bulle qui prolonge le toit jusqu’à l’aileron. Cet aileron peint, fixé comme sur la GT, ajoute une ligne tendue qui étire la poupe sans lourdeur. Les jantes Cup 17” donnent du corps au dessin, tandis que le capot long et les ailes galbées annoncent le V8 installé en avant, mais bas, pour préserver l’assiette.
À l’avant, les phares rétractables — icônes d’une époque — confèrent ce regard amphibie qui a tant marqué. Leur présence n’est pas qu’un clin d’œil : elle participe de l’aérodynamique et de l’allègement visuel. À bord, l’ambiance mêle sièges en cuir, instrumentation tournée vers le conducteur et console enveloppante. L’ergonomie, conçue pour des trajets sans fin, privilégie la clarté des informations et la position de conduite. Reste un point régulièrement évoqué : la qualité de certains plastiques, parfois sujette aux marques du temps. Les restaurateurs, avertis, reconditionnent, remplacent ou renforcent, faisant du cockpit un lieu à la fois authentique et fiabilisé.
Comparée à une Ferrari plus ostentatoire, à une Lamborghini plus théâtrale ou à une Maserati jouant la sensualité italienne, la 928 GTS affiche une élégance rationnelle, presque architecturale. Elle cherche moins l’effet de manche que la perfection d’usage : visibilité honorable pour un coupé, coffre exploitable, places arrière d’appoint. Dans un monde où les GT modernes comme Mercedes-AMG GT ou certaines BMW M s’autorisent l’exubérance, la 928 offre une école de sobriété expressive qui a très bien vieilli.
Un designer automobile racontait, lors d’un salon, combien le trait de caisse sans rupture de la 928, et le dessin de sa poupe vitrée, avaient inspiré un langage “streamline” adapté aux hautes vitesses. Les photographes aiment cette auto au coucher du soleil, quand la lumière enrobe la bulle arrière et que le bandeau rouge devient un trait de néon. La GTS n’a pas besoin d’ailes qui claquent : tout est dans la proportion, la tension, la matière.
- 🎨 Signatures visuelles : bandeau rouge, bulle arrière, jantes Cup 17”.
- 🧳 Vie à bord : sièges confortables, ergonomie claire, coffre utile.
- 🔎 Points de vigilance : plastiques intérieurs, joints de bulle, ciel de toit.
- 📸 Photogénie : reflets sur les galbes, silhouette tendue au crépuscule.
| 🖼️ Élément | 🔍 Rôle | ✨ Effet perçu | 🆚 Parallèles |
|---|---|---|---|
| Bandeau rouge | Unifie la poupe | Signature nocturne 🌙 | Ferrari 456 (sobriété), Jaguar XJS (classicisme) |
| Bulle + aileron | Aéro + style | Ligne tendue 🪶 | Chevrolet Corvette C4 (purisme), Alpine A610 (fluidité) |
| Jantes Cup 17” | Assise visuelle | Muscle discret 💪 | Mercedes-AMG GT (assise), BMW M (largeurs) |
En design comme en ergonomie, la 928 GTS démontre que la discrétion peut être spectaculaire : l’œil ne se lasse pas d’une justesse qui raconte la vitesse sans l’illustrer.

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Cote, ventes aux enchères et conseils d’achat 2025 : Porsche 928 GTS en collection
Le marché de la Porsche 928 GTS a consolidé sa trajectoire. Les résultats d’enchères montrent une reconnaissance croissante pour les exemplaires sains, bien documentés, et aux spécifications désirables. En début d’année, une GTS a changé de mains à 126 500 € (Paris, 2025), quand d’autres transactions récentes citent 135 700 € (2023), 138 000 € (2019) et 101 200 € (2016). L’apprentissage ? La valeur n’est pas linéaire ; elle suit l’état, l’historique, les couleurs, la boîte, et la transparence des travaux.
Un acheteur averti structure sa démarche autour de documents et de sensations. Les carnets, factures et photos d’entretien sont les piliers d’une due diligence réussie. Sur route, on écoute les bruits parasites à l’arrière, on surveille les températures, on teste la régularité de charge électrique et la consistance de la pédale de frein après plusieurs arrêts appuyés. Rien d’ésotérique : il s’agit de vérifier que la voiture a été utilisée et soignée régulièrement, plutôt que figée dans une inactivité trompeuse.
Les spécialistes recommandent d’anticiper une enveloppe de mise à niveau à l’achat. Silentblocs, amortisseurs, faisceaux, joints, éléments de climatisation : autant de points qui transforment une GTS déjà correcte en GT profondément satisfaisante. Un tableau de coûts prévisionnels rassure souvent l’acheteur, qui comprend que l’essentiel, c’est de répartir dans le temps et de privilégier une main-d’œuvre connaissant la 928.
- 📂 Dossier idéal : carnet tamponné, factures détaillées, propriétaires identifiés.
- 🔎 Essai routier : température stable, direction précise, freinage répété sans fatigue.
- 🧰 Plan de mise à niveau : pneus adaptés, amortisseurs, révision des fluides, électricité saine.
- 🎯 Cible d’achat : exemplaire cohérent plutôt que kilométrage “record”.
| 📅 Année | 🏛️ Vente | 💶 Montant | 📝 Lecture |
|---|---|---|---|
| 2016 | Chantilly | 101 200 € | Base de marché 🧭 |
| 2019 | Paris | 138 000 € | Accélération de la cote ⬆️ |
| 2023 | Paris | 135 700 € | Consolidation 💼 |
| 2025 | Paris | 126 500 € | Arbitrage selon état/boîte ⚖️ |
Pour mieux saisir les attentes du marché, un reportage vidéo offre des clés d’analyse utiles, notamment sur les configurations recherchées et les recommandations d’experts.
La conclusion pour l’acheteur : une 928 GTS bien choisie, c’est moins un “coup” qu’un compagnon de route pérenne qui justifie son investissement par l’usage.
Entretenir une Porsche 928 GTS : fiabilité, pièces et plan d’atelier pragmatique
La fiabilité d’une Porsche 928 GTS tient au respect de procédures simples et régulières. Un V8 tout alliage exige une hygiène stricte des fluides, une attention au refroidissement et une électricité exempte d’oxydation. Les ateliers spécialisés conseillent des intervalles clairs, un stockage intelligent (batterie maintenue, pression des pneus, mise en température périodique) et une conduite régulière. La mécanique n’apprécie ni l’hibernation totale ni l’improvisation.
Les pièces spécifiques se trouvent, avec parfois des délais. Les clubs et réseaux européens permettent d’anticiper, de mutualiser l’expérience et d’identifier les références alternatives de qualité. Les éléments d’intérieur critiqués pour leur vieillissement se réhabilitent très correctement via des fournisseurs dédiés. Les systèmes de freinage et de suspension, robustes, exigent surtout de la constance : c’est là que bien des GTS passent du vieillissant au sublime.
Un atelier partenaire a bâti un plan d’entretien en trois horizons : immédiat (sécurité et fiabilité), moyen terme (agrément) et long terme (préservation). Cette progression valorise l’usage : une GTS transformée devient une GT équilibrée, au comportement retrouvé et à la valeur patrimoniale renforcée.
- 🧪 Priorités immédiates : fluides, freins, pneus, refroidissement.
- 🔧 Horizon 12 mois : amortisseurs, silentblocs, joints de bulle, climatisation.
- 🧵 Intérieur : sellerie, planches, ciels de toit recollés proprement.
- 🔌 Électricité : masses, alternateur, faisceaux soignés; batterie entretenue.
| 🛠️ Opération | ⏱️ Fréquence | 💡 Note atelier | 🙂 Impact ressenti |
|---|---|---|---|
| Vidange + filtres | 12 mois ou 7 500–10 000 km | Huile adaptée, respect des couples | Moteur plus doux 😊 |
| Liquide de refroidissement | 24 mois | Contrôle radiateurs/pompe | Températures stables ❄️ |
| Freins | Contrôle à chaque révision | Flexibles, disques, plaquettes | Pédale consistante 🦶 |
| Suspension | Selon état | Amortisseurs + géométrie | Tenue de route retrouvée 🛤️ |
Ce plan pragmatique s’inscrit dans la logique d’une GT d’ingénieurs : l’auto récompense la régularité. Qui entretient bien roule mieux, plus loin, plus sereinement — et valorise son bien.
Culture, événements et rivalités : la Porsche 928 GTS face aux GT d’hier et d’aujourd’hui
Au-delà des chiffres, la Porsche 928 GTS vit dans une culture. Sur les grandes messes automobiles — Rétromobile, Le Mans Classic, rassemblements club — elle attire un public curieux, parfois de nouveaux venus lassés des évidences. Une GTS alignée dans un cortège déclenche souvent la conversation : pourquoi ce choix plutôt qu’une 911 ? La réponse tient dans une ligne éditoriale intime : la GTS défend le grand tourisme, l’espace, le confort, la vitesse sur distance, la stabilité émotionnelle autant que dynamique.
Face aux mythes italiens — Ferrari et Lamborghini —, elle refuse le duel théâtral pour cocher d’autres cases. Elle regarde aussi, d’un œil voisin, les nobles d’outre-Manche, Aston Martin en tête, et s’amuse de la vigueur américaine d’une Chevrolet Corvette. Les GT modernes comme certaines BMW M ou les bêtes signées Mercedes-AMG perpétuent à leur manière l’idée d’une performance utilisable. Et l’école française d’Alpine, avec sa passion de la légèreté, offre un contrechamp stimulant. La 928 GTS rappelle alors que plusieurs chemins mènent au plaisir automobile — l’important est de savoir lequel raconte notre histoire.
Un fil conducteur illustre cette diversité : Marc, conducteur de GTS depuis dix ans, alterne balades de club, sessions circuit “gentleman” et road-trips. Sur piste, il respecte les freins et les pneus, privilégiant la fluidité à la recherche du chrono. Sur nationale, il déroule, paisible, moteur à bas régime. En ville, il assume la taille, mais savoure la douceur des commandes. Sa voiture réconcilie pratiques et contextes, sans forcer le trait. C’est la démonstration concrète que l’auto séduit par sa polyvalence autant que par son esthétique.
- 🎪 Événements à guetter : Rétromobile, Le Mans Classic, meetings Porsche, rallyes de régularité.
- 🏁 Sur circuit : conduite coulée, freinage en progressivité, températures surveillées.
- 🧭 Road-trip : planification carburant, hôtels “car friendly”, réseau d’ateliers sur l’itinéraire.
- 🤝 Communauté : clubs 928, entraide pièces, documentation partagée.
| 🎯 Usage | ✅ Atout de la 928 GTS | ⚠️ Vigilance | 💬 Astuce |
|---|---|---|---|
| Autoroute | Silence, stabilité | Consommation | Régulateur de rythme, pneus récents |
| Montagne 🏔️ | Couple, motricité | Poids | Frein moteur, trajectoires propres |
| Ville | Souplesse | Encombrement | Stationnement protégé |
| Circuit 🏟️ | Équilibre | Fatigue thermique | Sessions courtes, refroidissement |
Dans ce paysage, la GTS gagne sa place non par le fracas, mais par une forme de sérénité performante. Elle témoigne que le sport automobile de route peut aussi être une pédagogie du respect et de la précision.
Quelle est la production totale de la Porsche 928 GTS ?
La 928 GTS a été produite à environ 2 710 exemplaires entre 1991 et 1995, ce qui renforce sa rareté et son attrait en collection.
Quelles performances peut-on attendre d’une 928 GTS ?
Jusqu’à 350 ch à 5 700 tr/min et environ 275 km/h en vitesse de pointe. Le 0–100 km/h varie selon boîte et conditions, avec des mesures historiques allant d’environ 5,7 s à 8,0 s.
Quels points de vigilance à l’achat ?
Dossier d’entretien complet, suivi du refroidissement, état des faisceaux électriques, suspensions et freins, ainsi que la qualité des plastiques intérieurs. Un essai prolongé et une inspection experte sont vivement recommandés.
La 928 GTS est-elle adaptée aux longs trajets ?
Oui. C’est une véritable GT : stable à haute vitesse, confortable, avec une ergonomie pensée pour l’endurance et un coffre utilisable.
Comment se situe-t-elle face à Ferrari, Aston Martin ou Mercedes-AMG ?
La 928 GTS privilégie la cohérence GT et la polyvalence : moins théâtrale qu’une Ferrari ou une Lamborghini, plus rationnelle qu’une Maserati d’époque, et proche, dans l’esprit d’usage, des meilleures GT modernes signées Mercedes-AMG ou de certaines BMW M.
Pour thomas, chaque véhicule vintage est une œuvre d’art roulante. Il capture l’âme des carrosseries dans ses clichés, et ses textes sont une extension de son objectif : visuels, sensibles, presque poétiques, ils donnent vie aux chromes et aux cuirs patinés.
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La Porsche 928 GTS incarne le parfait équilibre entre puissance et élégance.